Hercule Savinien Cyrano de Bergerac (1619 - 1655)
Hercule Savinien Cyrano de Bergerac naquit le 6 mars 1619 à Paris. Il est mort le 28 juillet 1655 à Sannois. Ses dépouilles mortelles furent inhumées au cimetière du Père-Lachaise. Il était un poète, écrivain et libre-penseur français.
On lui doit l’une des premières comédies en prose : « le Pédant joué » révélant une modernité inédite dont le caractère burlesque l’approche tout à fait du Théâtre de l’Absurde d’un Eugène Ionesco. Ainsi, ses comédies, largement méconnues et très souvent méprisées à l’époque, auraient du attendre cette perspective moderne pour qu’ils eussent enfin été réhabilitées. En 1640, Cyrano de Bergerac se fût intimement attaché à Charles Coypaeu d’Assoucy qui fut désormais son amant. C’est pas étonnant que l’on aurait du son premier écrit connu à cette amitié. En tant qu’élève de Pierre Gassendi et condisciple de Claude-Emmanuel l’Huillier, dit Chapelle, Cyrano de Bergerac se fût nettement opposé aux principes cartésien. Cyrano de Bergerac fit professer son athéisme à travers du personnage du Sejanus dans sa seule tragédie « La Mort d’Agrippine » de sorte que Bergerac aurait fait écrier par l’acteur toute son abomination qu’il éprouvait à l’égard des religions dans une scène qui fit scandale :
On lui doit l’une des premières comédies en prose : « le Pédant joué » révélant une modernité inédite dont le caractère burlesque l’approche tout à fait du Théâtre de l’Absurde d’un Eugène Ionesco. Ainsi, ses comédies, largement méconnues et très souvent méprisées à l’époque, auraient du attendre cette perspective moderne pour qu’ils eussent enfin été réhabilitées. En 1640, Cyrano de Bergerac se fût intimement attaché à Charles Coypaeu d’Assoucy qui fut désormais son amant. C’est pas étonnant que l’on aurait du son premier écrit connu à cette amitié. En tant qu’élève de Pierre Gassendi et condisciple de Claude-Emmanuel l’Huillier, dit Chapelle, Cyrano de Bergerac se fût nettement opposé aux principes cartésien. Cyrano de Bergerac fit professer son athéisme à travers du personnage du Sejanus dans sa seule tragédie « La Mort d’Agrippine » de sorte que Bergerac aurait fait écrier par l’acteur toute son abomination qu’il éprouvait à l’égard des religions dans une scène qui fit scandale :
Ces beaux riens qu’on adore, et sans savoir pourquoi,
Ces altérés du sang des bêtes qu’on assomme,
Ces Dieux que l’homme a fait, et qui n’ont fait l’homme,
Va, va, Terentius, qui les craint, ne craint rien.